Dans "Vivantes", Sarah Barukh, victime de violences conjugales, livre son témoignage et, à travers son histoire, explore les causes de ce que l'ONU a récemment qualifié de pandémie de l'ombre. En France, en moyenne, une femme est tuée par son compagnon tous les deux jours et demi, soit 125 féminicides par an. Le film a déclenché une prise de conscience dans les entreprises sur leur rôle à jouer pour protéger les femmes. Nombreuses sont celles qui se sont tournées vers Sarah Barukh pour mettre en place des actions permettant d'aider leurs salariées dans leur parcours pour sortir de l'emprise de leur compagnon.