Norbert est de retour, et "les criminels" des cuisines pensent participer à un concours de cuisine. Ils vont tomber des nues en découvrant que Norbert est là pour les redresser. Olivier a un vrai talent d'imitateur, mais les choses se gâtent quand il prépare ses moules et gnocchis au chocolat. Amanda mélange fièrement les cuisines camerounaise, espagnole et française avec sa paëlla aux larves. Sauf que les rudiments n'y sont pas. Norbert va se démener pour les aider tous les deux. Joëlle ne maîtrise pas la cuisine basque, en particulier l'axoa de veau qu'elle agrémente de sauce soja, de sésame, voire de mangue. Jean-Baptiste est persuadé que la cuisine est un atout pour séduire. Mais son poulet au cola n'a rien de fameux, entre une chair trop sucrée et une saveur d'oignon trop présente. La recette de la ratatouille de Gaby est sans courgette ni aubergine mais avec notamment un régiment d'épices. Norbert lui apprend la découpe des légumes, le respect des temps de cuisson et de l'assaisonnement. Il se rend ensuite chez David qui est très fier de sa création originale : le poulet/saumon. Norbert est appelé à la rescousse par Patrick. Il adore sa femme Marie-Jo mais ne sait pas comment lui avouer qu'il n'en peut plus de sa cuisine trop riche, notamment son boeuf bourguignon. Puis, Norbert donne une leçon de tomates farcies à Mickaël. Le professeur des écoles se fera-t-il recaler ? A 20 ans, Barbara s'est auto-proclamée reine de la viande hachée. Le problème, c'est que son fameux "extraordin'haché" est au final fade, mal assaisonné et mal cuit. Comme tout ambassadeur de la cuisine belge, Jean-François jure beaucoup par les frites. Mais son plat préféré, curieux mélange de frites, de thon mayonnaise et de haricots blancs, est une véritable hérésie pour Norbert. Johnny est un spécialiste des crêpes surprises. Kathleen, quant à elle, est "dealeuse de sucre". Ses pâtisseries sont chargées de sucreries et autres produits chimiques. Norbert se rend chez Yann qui est accusé d'un deal d'épices : il en met partout, tout le temps et surtout, n'importe comment. Il a fort à faire avec cet "assassin des papilles".